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- Succession et famille recomposée
Attention aux pièges ! Retour Droit de la famille Succession et famille recomposée Christilia Gil 12 sept. 2023 Attention aux pièges ! Les successions dans les familles recomposées sont souvent complexes. Dans bien des cas, les personnes concernées ignorent les conséquences de leur structure familiale sur la répartition de leurs biens après leur mort. Plus que jamais, dans ces situations, la consultation d’un expert s’impose. La difficulté consiste à protéger le conjoint sans pour autant désavantager les enfants. Pour les couples mariés, la plus grande vigilance s’impose. Si aucune disposition n’est prise, lorsque les enfants ne sont pas tous issus du même lit, en vertu de l’article 757 du code civil, le conjoint peut revendiquer le quart du patrimoine du défunt en pleine propriété. Il a également un droit viager d’occupation du logement si le défunt en était propriétaire, en vertu de l’article 764 du code civil. Ces deux droits, qui servent à protéger le conjoint, peuvent aussi générer un important déséquilibre. Il est possible de rééquilibrer la transmission au moyen de l’assurance vie. Celle-ci, à condition de ne pas verser de prime manifestement exagérée et de faire vivre régulièrement le contrat, est hors succession. Si les sommes sont versées avant les 70 ans du souscripteur, il est possible de l’utiliser pour transmettre jusqu’à 152 500 euros par bénéficiaire sans aucun impôt. Précédent Suivant
- Domaines de 40 Ha Gascogne | CG PATRIMONIA
Neuf, ancien, résidence principale, investissement locatif, immobilier professionnel (zones industrielles, zones agricoles, terrains, bureaux? entrepots, fonds de commerce), Résidence de tourisme, résidence d'affaire, résidence senior premium, vefa < Précédent Domaines de 40 Ha Gascogne A VENDRE - EXCLUSIVITE 2 319 200 € HT Description En cœur de Gascogne, entre le Gers et les Landes, ces trois Domaines se situent sur un terroir d'exception : Le Bas-Armagnac. Sur une Propriété du XIXème siècle, un domaine vinicole, un mariage entre ces terroirs et le savoir des propriétaires a permis de créer une gamme de Flocs de Gascogne et des Eaux de Vie d’Armagnac. Ces domaines d’environ 40 hectares se composent d'une Propriété comprenant maisons d’habitations, chais, salle de dégustation, hangars, grange, terres viticoles, matériels d’exploitation, marques, sites, clientèle et les stocks de Flocs et des Eaux de Vie d’Armagnac. Pour des investisseurs un futur dans « L’Œno Tourisme vers l’Evènementiel dans un cadre unique » pour une orientation vers de la location de chalets ou de lodges en gites ou chambre d’hôtes, locations d’espaces et de salles pour tous type d’événements tels que anniversaires, mariages, séminaires, réunions d'entreprise. * Les honoraires d'agence seront intégralement à la charge de l'acquéreur Vente confidentielle Dossier complet sur demande avec lettre d'intention ou d'intérêt et de confidentialité avec attestation de financement validé par un établissement bancaire Prix de vente avec les honoraires agence inclus 2 319 200 € Hors Taxes Prix de Vente : 2 230 000 € HT (Hors frais de Notaire) Honoraires acquéreur 4% soit 89 200 € HT Contact Agent Didier +33 6 09 78 24 77 info@cgpatrimonia.fr Référence Réf. Mandat 24-12
- Tout savoir sur l'épargne salariale
L’épargne salariale regroupe les dispositifs dont l’objectif est de permettre aux salariés de se constituer, dans le cadre de leur entreprise, une épargne personnelle. Les salariés bénéficient de très bonnes conditions fiscales et sociales : les sommes issues de la participation et de l’intéressement versées sur un plan d’épargne salariale, ainsi que l’abondement sont exonérés de charges sociales (hors CSG-CRDS) et d’impôt sur le revenu Retour Optimisation fiscale TPE/TPME Tout savoir sur l'épargne salariale Christilia Gil 25 déc. 2021 L’épargne salariale regroupe les dispositifs dont l’objectif est de permettre aux salariés de se constituer, dans le cadre de leur entreprise, une épargne personnelle. Les salariés bénéficient de très bonnes conditions fiscales et sociales : les sommes issues de la participation et de l’intéressement versées sur un plan d’épargne salariale, ainsi que l’abondement sont exonérés de charges sociales (hors CSG-CRDS) et d’impôt sur le revenu L’épargne salariale regroupe les dispositifs dont l’objectif est de permettre aux salariés de se constituer, dans le cadre de leur entreprise, une épargne personnelle. Les salariés bénéficient de très bonnes conditions fiscales et sociales : les sommes issues de la participation et de l’intéressement versées sur un plan d’épargne salariale, ainsi que l’abondement sont exonérés de charges sociales (hors CSG-CRDS) et d’impôt sur le revenuL’épargne salariale englobe : - la prime d’intéressement (facultatif et basé sur des critères de performance de l’entreprise) ; - la prime de participation aux bénéfices (obligatoire dans les entreprise de plus de 50 salariés et volontaire pour les entreprises de moins de 50 salariés) ; - le Plan d’épargne entreprise (PEE/PEI) ; - le Plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO). - l’abondement (versement complémentaire de l’entreprise sur le plan d’épargne salariale) Qui peut bénéficier de l’épargne salariale ? Tous les salariés dont l’entreprise a mis en place un dispositif d’épargne, respectant le cas échéant une condition d’ancienneté de 3 mois maximum. Le dirigeant non salarié d’une entreprise de moins de 250 salariés et le cas échéant son conjoint (marié ou pacsé) collaborateur ou associé. Au-delà ils doivent disposer d’un contrat de travail. Comment est alimenté un plan d’épargne salariale ? - par le versement des primes de participation et d’intéressement que le salarié choisit de verser sur le plan d’épargne salariale ; - par l’abondement, coup de pouce financier de l’entreprise qui vient en complément des sommes versées par le salarié. - par des versements personnels du salarié sur son Plan d’épargne entreprise (PEE) ou sur le Plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO) ; - par des jours de repos non pris (avec ou sans CET) Comment est placée l’épargne salariale ? L’épargne salariale placée sur un PEE/PEI ou PERCO/PERCOI est investie sur des Fonds communs de placement entreprise (FCPE), monétaire, obligataire, diversifié, actions. Chacun est libre de choisir les supports qui lui conviennent le mieux, en fonction de ses projets et de son profil d’épargnant. Sur le PERCO/PERCOI, il existe une gestion pilotée : elle permet de réduire progressivement les risques financiers, les sommes sont affectées en fonction de la date de départ à la retraite du salarié. Quels avantages pour les TPE et PME ? La mise en place d’un plan d’épargne salariale offre des avantages pour les TPE et PME en termes de fiscalité. Les PEE-PEI et PERCO-PERCOI sont aussi idéaux pour motiver vos salariés, les fidéliser et leur permettre de bénéficier d’avantages financiers à long terme. Avantages sociaux et fiscaux pour votre entreprise. L’épargne salariale vous donne des outils financiers pour : - gratifier les salariés, sans alourdir vos charges sociales ; - diminuer votre impôt sur les sociétés (IS). En effet, toutes les sommes versées par l’entreprise au titre de l’épargne salariale sont exonérées de charges sociales et déductibles du bénéfice imposable. A noter : Depuis le 1er janvier 2019, le forfait social de 20% est supprimé sur l’épargne salariale (intéressement, participation, abondement) pour toutes les entreprises de moins de 50 salariés et sur l’intéressement pour les entreprises de moins de 250 salariés. Avantages financiers pour vos salariés. L’épargne salariale leur apporte un complément de rémunération avec lequel ils peuvent : - constituer une épargne apte à financer un projet à une étape clé de la vie (mariage, acquisition immobilière…) ; - créer un complément financier pour la retraite Précédent Suivant
- Comment choisir une SCPI ?
Quels critères pour choisir ses SCPI parmi les plus de 200 qui existent ? Retour Placements Comment choisir une SCPI ? Christilia Gil 1 mai 2023 Quels critères pour choisir ses SCPI parmi les plus de 200 qui existent ? Les SCPI sont un type d’actif assez spécifique, qui recèle pas mal de subtilités, qui ne sont pas toujours directement compréhensibles. Pour cette raison, il peut parfois s’avérer judicieux de se faire conseiller et guider dans la constitution de son portefeuille de SCPI, afin de faire de bons choix. Tout d'abord, le taux de distribution permet de connaître le rendement du dividende délivré pour chaque part d’une SCPI. Les SCPI affichent en moyenne un taux de distribution de 4,5 %. Il est relativement facile d’analyser l’historique de rendement d’une SCPI même si les performances passées ne présagent pas des performances futures. Ensuite, l’évolution du prix de la part qui peut être synonyme de plus-values. Les SCPI peuvent ainsi, au choix : coller au plus près de la valeur des actifs immobiliers, en récompensant les détenteurs de parts par des hausses de prix ou maintenir le prix des parts un cran en dessous de leur valeur réelle, afin d’inciter de nouveaux investisseurs à en acquérir. Le taux de rentabilité interne est un indicateur financier intéressant car il prend en compte le taux de distribution et l’augmentation du prix des parts. La valeur de reconstitution nous donne la valeur du parc immobilier, ramené à la part. Elle permet de savoir si le prix d’une SCPI est supérieur ou inférieur à sa valeur réelle. Ainsi, il est potentiellement plus intéressant d’investir dans une SCPI dont le prix de la part est attractif par rapport à la valeur de son parc immobilier. Les frais de gestion et de souscription Le taux d’occupation financier qui désigne le pourcentage des loyers effectivement perçus par rapport à celui qui serait perçu si tout le parc était loué. Il vaut mieux cibler les SCPI qui arrivent à conserver un taux d’occupation élevé au fil du temps. La capitalisation représente la taille du parc immobilier d’une SCPI. Certaines SCPI ont une capitalisation de quelques dizaines de millions d’euros, d’autres, de plusieurs milliards. Plus la capitalisation d’une SCPI est élevée, plus elle possède de biens et de locataires, et donc plus les risques sont mutualisés. Enfin, il s’agit d’analyser la répartition patrimoniale d’une SCPI, sous différents angles : le secteur (bureaux, commerces, hôtels, locaux, résidentiel, entrepôts, établissements de santé, éducation,...), la géographie (centres-villes, périphérie, grandes agglomérations, villes moyennes, région parisienne, province, France ou étranger, Zone Euro), la qualité des biens (biens neufs ou anciens, rénovation, labellisation ISR), la diversification Précédent Suivant
- Tout savoir sur l'assurance-vie
L'assurance-vie répond à de nombreux objectifs : faire fructifier son épargne, se constituer un complément de revenu, préparer sa succession… Elle offre des solutions d'investissement de long terme au travers des contrats en unités de compte. Que faut-il savoir sur ce produit ? Retour Assurance vie Tout savoir sur l'assurance-vie Christilia Gil 1 janv. 2021 L'assurance-vie répond à de nombreux objectifs : faire fructifier son épargne, se constituer un complément de revenu, préparer sa succession… Elle offre des solutions d'investissement de long terme au travers des contrats en unités de compte. Que faut-il savoir sur ce produit ? Qu’est-ce qu’un contrat d’assurance-vie ? Avec un encours total de 1 786 milliards d’euros1, l’assurance vie est sans aucun doute le placement préféré des Français. Un succès qui s’explique par une fiscalité avantageuse et la diversité des actifs qu’il est possible de souscrire via cette enveloppe. 1 - Source : Fédération française de l’assurance (FFA) – Donnée à fin janvier 2021. Le contrat d’assurance-vie vous permet d’épargner et de vous constituer un capital pour vous ou vos proches dans le cadre d’objectifs patrimoniaux (obtention d’un complément de revenus, préparation de la retraite, transmission de patrimoine…). Une assurance-vie est un contrat par lequel un assureur s’engage en contrepartie du paiement de primes libres ou programmées, à verser au souscripteur ou à un tiers bénéficiaire désigné par ce dernier, une somme déterminée en capital ou rente en cas de mort de l’assuré ou de sa survie au terme du contrat. Attention: Le contrat d’assurance-vie ne doit pas être confondu avec un contrat d’assurance décès, dans lequel le souscripteur verse aussi des prismes mais qui assure au(x) bénéficiaire(s) un capital fixe en cas de décès du souscripteur. Quels sont les objectifs ? Tous les versements effectués sur ce type de contrat, ainsi que les intérêts générés(*) par ce placement, vont constituer un capital qui : - en cas de survie du souscripteur au terme du contrat, pourra être utilisé par celui-ci de son vivant. Les contrats d’assurance-vie permettent ainsi de constituer une épargne, de développer un capital, de préparer sa retraite ou encore de mettre en place une prévoyance. - en cas de décès du souscripteur, sera transmis à la (ou aux) personne(s) désignée(s) dans la clause bénéficiaire. Ces contrats sont d’excellents outils de transmission de son patrimoine offrant des conditions fiscales avantageuses, et permettant plus spécifiquement de transmettre à une personne ne faisant pas partie des héritiers réservataires, qui serait fortement taxée en utilisant les donations ou legs. Commercialisée majoritairement au travers de contrats « multi-supports », l’assurance-vie s’adresse aussi bien aux épargnants à la recherche de placements peu risqués, qu’à ceux désireux de diversifier leurs avoirs sur des supports plus risqués, notamment en actions. Ces supports plus risqués sont des « unités de compte » (UC), c’est-à-dire dans des parts de fonds ou Sicav proposés au sein du contrat. Souple, l’assurance-vie permet d’effectuer des versements libres ou réguliers et des retraits à tout moment, sous forme d’avance (sorte de prêt) ou de rachat (partiel ou total) ainsi que quantité d’options de gestion (arbitrages entre supports, versements programmés, sécurisation des gains…). Quel type de support choisir pour votre assurance-vie ? Le choix des supports dans lesquels vous allez investir au sein de votre contrat d’assurance-vie est orienté en fonction de votre profil, de vos objectifs et du niveau de risque que vous êtes prêt à prendre. Choisir les supports de son contrat d'assurance-vie A l’origine, l’investissement via des contrats d’assurance-vie était limité à un seul support, en euros ou en unités de compte. Le développement des marchés a fait apparaitre des contrats devenus multi-supports permettant l’accès sur un même contrat à des supports en euros et à une gamme diversifiée d’unités de compte. Contrats en euros Ces contrats sont mono-support et permettent aux épargnants de placer leur capital sur un fonds en euros. La compagnie de gestion a toute latitude pour la gestion sur ces fonds pour le compte des assurés. Elle est tenue à l’échéance du contrat de rembourser une somme égale aux primes nettes de frais versées par le souscripteur augmentée des intérêts capitalisés. Chaque année, les intérêts produits sont définitivement acquis et ajoutés au capital du contrat, générant ainsi eux-mêmes des intérêts. C’est l’effet de cliquet, et il s’agit donc un placement sans risque. Mais en contrepartie de cette sécurité, le rendement se trouve limité. Contrats en unités de compte Ces contrats n’ont pas pour référence l’euro mais une unité de compte, telle qu’une action ou une part de société – SICAV, FCP, SCI, SCPI – pour les contrats mono-support, ou un assemblage de plusieurs de ces parts de société pour les contrats multi-supports. Actuellement, la quasi-totalité des contrats multi-supports intègrent un support en euros. Ces contrats varient à la hausse ou à la baisse selon l’évolution de la valeur des unités de compte, reflétant la valeur du marché boursier ou immobilier faisant référence. Le risque de perte est donc présent et celui-ci est supporté par le souscripteur. Dans ce type de contrat, le souscripteur peut décider du mode de gestion qu’il souhaite : Gestion directe : le souscripteur effectue lui-même ses arbitrages en fonction de l’évolution des unités de compte choisies. Gestion déléguée : le souscripteur demande à une société de gestion ou une compagnie d’assurance de réaliser les arbitrages pour son compte en fonction de son profil d’investisseur sécuritaire, prudent, équilibré ou dynamique. Contrats euro-diversifiés Ces contrats sont des contrats hybrides entre les fonds euros et les contrats investis en unités de compte. L’objectif de ces contrats est d’allier la sécurité et la performance. L’assureur s’engage à reverser tout ou partie des primes nettes de frais investies. Le pourcentage de capital garanti sur lequel s’engage la compagnie d’assurance est choisi par le souscripteur qui détermine ainsi son degré d’exposition aux risques et parallèlement à celui-ci, le rendement du contrat. Contrats euro-croissance Ces contrats sont proches des contrats euros-diversifiés auxquels y est assortie une garantie du capital versé en cas de conservation de l’investissement pendant au minimum 8 années. Comment investir dans une assurance-vie ? Ouverture du contrat d’assurance-vie Toute personne physique ayant la capacité juridique de souscrire un contrat peut ouvrir un ou plusieurs contrats d’assurance-vie. Un mineur ou un majeur sous tutelle ne peut pas le faire seul. À la signature du contrat, vous effectuez un premier versement (une « prime » ou une « cotisation »). Généralement, après l’ouverture et le paiement de la prime initiale, il est possible d’effectuer des versements complémentaires qui peuvent être libres ou réguliers. Les assureurs peuvent prévoir un montant minimal pour chaque versement, mais il n’existe pas de plafond. La clause bénéficiaire Lors de l’ouverture du contrat, votre intermédiaire vous demande de désigner un ou des bénéficiaires qui recevront le capital de l’assurance-vie si vous veniez à décéder avant la fin du contrat. Tous les contrats proposent une clause bénéficiaire type adaptée à la majorité des souscripteurs : en cas de décès, les capitaux sont versés « au conjoint, à défaut aux enfants nés ou à naître, vivants ou représentés, à défaut aux héritiers ». Mais il est toujours possible de rédiger la clause soi-même. La clause bénéficiaire n’est pas figée dans le temps, vous pouvez à tout moment la modifier. Retrait et clôture du contrat d’assurance-vie Les contrats d’assurance-vie n’ont pas de durée de vie légale : ils peuvent être à durée viagère (toute la vie) ou à durée déterminée. Toutefois, à tout moment, vous pouvez demander à l’assureur de retirer des capitaux. Trois possibilités s’offrent à vous. Vous pouvez : - opter pour le rachat total : l’intégralité de la somme au contrat vous est versée et le contrat est résilié ; - demander le rachat partiel du contrat : une partie de la somme de votre contrat vous est versée et la partie restante continue de générer des intérêts ; - opter pour une avance sur le contrat : vous souscrivez à un prêt proposé par l’assureur qui prévoit un taux d’intérêt préalablement défini. Cette option permet de faire face à un besoin ponctuel de liquidité sans avoir à effectuer un retrait. Le contrat se dénoue en cas de rachat total des sommes placées sur votre assurance-vie ou en cas de décès. En cas de rachat total, vous avez la possibilité de choisir entre le versement du capital en une seule fois ou le versement d’une rente viagère (revenu garanti jusqu’à votre décès). Si vous veniez à décéder, le contrat est clôturé et le ou les bénéficiaires désignés reçoivent le capital acquis. Précédent Suivant
- Assurance vie et vulnérabilité
Un intéressant arrêt a été rendu par la Cour de cassation le 17 novembre 2021 (Cass 1ère ci. 17 novembre 2021, n° 20-12.711). L’arrêt mérite de retenir l’attention, car il concerne une situation assez fréquente compte tenu du vieillissement de la population. Retour Vulnérabilité Assurance vie et vulnérabilité Juriscampus - Michel Leroy 31 déc. 2021 Un intéressant arrêt a été rendu par la Cour de cassation le 17 novembre 2021 (Cass 1ère ci. 17 novembre 2021, n° 20-12.711). L’arrêt mérite de retenir l’attention, car il concerne une situation assez fréquente compte tenu du vieillissement de la population. https://www.juriscampus.fr/assurance-vie-et-vulnerabilite/ Précédent Suivant
- De nouvelles aides sur décembre et janvier
De nouvelles aides sur décembre et janvier Retour Actus De nouvelles aides sur décembre et janvier Christilia GIL 8 déc. 2022 De nouvelles aides sur décembre et janvier - À partir du lundi 12 décembre 2022, un chèque énergie exceptionnel de 100 ou 200 euros pour 12,6 millions de foyers : Ce nouveau chèque est envoyé automatiquement par voie postale aux 12 millions de foyers bénéficiaires, sans démarche de la part des ménages. - Chauffage : vous pourrez demander le chèque bois à partir du 27 décembre ; Ce chèque, qui devrait bénéficier à 2,6 millions de foyers, sera d'une valeur de 50 à 200 euros selon les conditions de revenus. - Dès le 1er janvier 2023, un chèque carburant de 100 euros va remplacer la remise à la pompe instaurée par le gouvernement au 1er avril dernier. - A compter de fin novembre 2022 : une aide de 100 à 200 euros est mise en place en faveur des foyers les plus modestes se chauffant au fioul domestique, soit près d’1,6 million de foyers. Précédent Suivant
- Tout savoir sur la mandat à effet posthume
Le mandat à effet posthume permet à une personne de désigner celle qu’elle charge de gérer tout ou partie de ses biens, après sa mort, pour le compte et dans l’intérêt de ses héritiers. Ce mandat n’est valable que s’il est justifié par un intérêt « sérieux et légitime » au regard : • de la personne de l’héritier (enfant mineur ou souffrant d’un handicap lourd, mésentente entre héritiers) ; • ou du patrimoine de la succession (par exemple entreprise nécessitant des compétences professionnelles spécialisées Retour Transmission Tout savoir sur la mandat à effet posthume Christilia Gil 1 févr. 2021 Le mandat à effet posthume permet à une personne de désigner celle qu’elle charge de gérer tout ou partie de ses biens, après sa mort, pour le compte et dans l’intérêt de ses héritiers. Ce mandat n’est valable que s’il est justifié par un intérêt « sérieux et légitime » au regard : • de la personne de l’héritier (enfant mineur ou souffrant d’un handicap lourd, mésentente entre héritiers) ; • ou du patrimoine de la succession (par exemple entreprise nécessitant des compétences professionnelles spécialisées Durée La durée du mandat est de deux ans maximum, renouvelable par décision du juge, voire de cinq ans en raison de l’âge ou de l’inaptitude des héritiers ou pour gérer des biens professionnels. Le mandat est librement révocable par le mandant. Conditions Ce mandat doit faire l’objet d’un acte reçu par un notaire dans la forme authentique. Ce mandat sera inscrit au fichier central des dispositions des dernières volontés. Pouvoirs et obligations du mandataire Le mandataire peut être une ou plusieurs personnes choisies parmi les héritiers ou un tiers. Dès lors que la succession a été acceptée par au moins un héritier, le mandataire dispose d’un pouvoir général d’administration et de gestion sur les biens visés dans le mandat à effet posthume. Il convient de vous rapprocher de votre notaire afin de préciser l’étendue des pouvoirs du mandataire. Chaque année et en fin de mandat, le mandataire rend compte aux héritiers des actes de gestion qu’il a accomplis. Il n’est pas responsable des dettes de l’exploitation que les héritiers supportent seuls et sa responsabilité ne peut être engagée qu’en cas de faute de gestion avérée. Fin du mandat Ce mandat prend fin par l’arrivée du terme, la renonciation du mandataire, la révocation judiciaire, la conclusion d’un mandat conventionnel, la vente des biens visés dans le mandat, le décès ou l’incapacité du mandataire, le décès de l’héritier intéressé ou une décision du juge des tutelles si l’héritier concerné fait l’objet d’une mesure de protection. Précédent Suivant
- Tout savoir sur les FCPI et FIP
Les FCPI (Fonds Commun de placement dans l’Innovation) et FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) ont pour objectif de financer la croissance et le développement d’entreprises françaises et/ou européennes non cotées en Bourse. Véritables outils d’optimisation fiscale et de diversification patrimoniale, les FCPI et FIP permettent d’investir dans le non côté, classe d’actifs généralement destinée aux investisseurs institutionnels. Retour Fiscalité Tout savoir sur les FCPI et FIP Christilia Gil 7 déc. 2021 Les FCPI (Fonds Commun de placement dans l’Innovation) et FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) ont pour objectif de financer la croissance et le développement d’entreprises françaises et/ou européennes non cotées en Bourse. Véritables outils d’optimisation fiscale et de diversification patrimoniale, les FCPI et FIP permettent d’investir dans le non côté, classe d’actifs généralement destinée aux investisseurs institutionnels. Soutenez le développement de PME non cotées, tout en bénéficiant d’avantages fiscaux Les FIP et FCPI investissent dans des titres non cotés en Bourse. Ils ont pour objectif de financer le développement d’entreprises non cotées à caractère innovant et/ou orientées sur des secteurs offrant des perspectives de croissance attractives tels que les seniors et les enfants, l’énergie, la santé ou encore les technologies de l’information. Ces entreprises sont rarement accessibles par un investissement en direct pour des investisseurs particuliers. Alors que les FCPI ont vocation à investir dans des sociétés ayant leur siège social dans l’Union Européenne, les FIP sont soumis à une contrainte géographique complémentaire, à savoir privilégier des PME françaises implantées en régions et considérées comme porteuses économiquement telles que l’Ile-de-France, la région Auvergne-Rhône-Alpes et la Provence-Alpes-Côte-d’Azur ou encore la Corse. Les avantages d’investir en FCPI - Diversification du patrimoine Cet investissement représente avant tout une diversification de votre patrimoine. Il permet d’investir sur un marché complètement « décorrélé » des marchés financiers dont les plus-values peuvent être très importantes. - Réduction de l’impôt Les FIP et FCPI constituent des solutions d’investissement permettant de réduire son impôt. Mais au-delà de ce seul critère, il est indispensable de prendre en compte la durée d’investissement de ces produits et le risque de perte en capital associé. - Un ticket de souscription accessible La souscription dans les FIP et FCPI est généralement possible dès 1 000 €. Les risques spécifiques liés aux FIP et FCPI - Risque de perte en capital - En investissant dans des FIP et/ou FCPI, vous pouvez perdre tout ou partie de votre capital. En effet, les perspectives de développement des sociétés dans lesquelles le fonds investit sont incertaines. - Risque d’illiquidité Les fonds de capital investissement investissent dans des titres de sociétés non cotées, qui par définition ne sont pas liquides. Ils ne bénéficient donc pas d’un marché secondaire organisé pour vendre les titres. N’étant pas négociables, leur cession nécessite plusieurs mois. - Risque lié à la valorisation des titres en portefeuille La valorisation des titres non cotés détenus par le fonds est basée sur la valeur actuelle de ces titres. Ainsi, cette valorisation peut ne pas refléter le prix reçu en contrepartie d’une cession ultérieure des dits titres. Précédent Suivant
- [DOSSIER SPECIAL] Loi de finances pour 2022
La loi de finances pour 2022 modifie plusieurs pans de la fiscalité, tant pour les entreprises que pour les particuliers. Retour Fiscalité [DOSSIER SPECIAL] Loi de finances pour 2022 Article Francis Lefebvre 7 févr. 2022 La loi de finances pour 2022 modifie plusieurs pans de la fiscalité, tant pour les entreprises que pour les particuliers. https://www.efl.fr/actualite/dossier-special-loi-finances-2022_f4646242f-094c-4506-b3ea-8cc1bbea182d?utm_source=linkedin&utm_medium=referral&utm_campaign=LK-QUOT-JANV2022 Précédent Suivant